Lieu publique

Le héraut de la milice se trouvait au milieu de la place publique. Il avait été envoyer là afin de recruter de nouveaux membres pour grossir les effectifs de la milice qui avait été réduite lors de l'attaque des brigands sur la ville.

Oyer Oyer

La milice recrute présentement de nouveaux soldats afin de mieux protéger cette villes et ses habitants des vols ainsi que pour faire respecter les lois. Les armes vous seront fournit ainsi que le mnimum d'armure et les bouclier pour ceux qui en ont de besoin. la solde de base est de 4 écus. Les intéressées soyer sur la place publique lorsque le soleil sera à son zénith pour la venue du sergeant et le recrutement des hommes.

puis il attend environ 15 minutes répondant aux questions de quelques hommes intéressés qui se sont approché puis il répètent son message et entre dans l'auberge.

Fier des 3 écus qu'il venait de dérober, il esquissa un léger sourire. Pourtant, voyant le jeune meurtri au cadran, son visage redevint de glace. Il retira la capuche de sa cape-épaule verte de sa tête et avanca en direction du carcan. Du derrière de la tête du condamné coulait un filet de sang, quelques gouttes s'étendant même jusq'au sol; cette blessure s'était s'en doute faite lors de colision contre l'arbre. Il aggripa sa tête par ses cheveux, la souleva et remarqua son visage enflé par les écchymoses. Le visage de Murmure ne put retenir une expression de dégout; Il frappa du revert de sa main la joue du jeune, puis lui mit ses deux pouces sur chacune de ses paupières pour être sûr qu'il le voit.
Joue le jeu, fait moi confiance. lui souffla-t-il au travers son col pour être certain que personne d'autre comprendre sa complicité..
Puis il laissa la tête du jeune tomber.
N'êtes-vous guère capable de donner à un pilleux comme lui une leçon dont il se souviendra pour le reste de ses jours? Hurla-t-il, tous les gens sur la place publique entendant sa locution.
Libérez-le, il doit recevoir ce que les voleurs comme lui méritent; même s'il est un enfant, la punition doit être la même! Déclara Murmure à tous.
La foule rugit. Certains ne voulait pas que le jeune recoive d'autres suplices physiques et, d'autres, acclamaient l'annonce...
Lorsqu'il remarqua la réaction d'incompréhension des gardes, Murmure, toujours derrière son col noir, afficha un franc sourire.

Le garde et qui l'avait mit au carcan s'était éloigner mais il revient avec une hache et il la plante dans une buche. Il libère le petit du carcan et il dit à un autre garde: tien lui la main bien en place sur la buche.

Une fois que ceci est fait il soulève la hache bien au dessus de sa tète et s'apprète à l'abaisser.

La hache levée, Murmure senti en lui une dose de culpabilité. Le carcan était une punition beaucoup plus longue et enlevante, mais l'abblation de la main était une solution radicale et permanente. Il s'approcha vers le garde qui tenait la hache par-derrière de celui-ci et lui murmura de ses lèvres voilées:
Que planifies-tu faire, un fois la main coupé?
Son ton de voix représentait une menace, le garde l'avait remarqué. Les yeux du garde se fermèrent, une lumière lui parcourrait les yeux. Le garde rechercha sa provenance et vit une lame, cachée dans la cape-épaule verte de l'homme qui se tenait à sa droite. Murmure le menacait et vit dans le regard du garde que celui-ci réfléchira deux fois avant de couper la main du jeune. Pourtant, plusieurs miliciens se trouvaient déja sur place. Murmure s'avait que si le garde coupait la main du voleur, il n'agirait point, mais si sa menace avait fonctionné, le garde s'opposerait involontairement à l'abblation.

Le garde lève le ton et cris: cmment oses tu me menacer puis il lui assène un coup du plat de la lame qui faillit l'asomer mais celui-ci se releva de justesse et réussis à éviter un deuxième cup qui avait faillit le heuter en plein visage du plat de la lame.

[i]L'assassin se projeta hors de porté du garde, puis se faufila dans la foule qui se dispersait à vu d'oeil. D'ombre en ombre il se déplacait, pour finalement disparaitre dans les bois, là où Artanis s'était extirpé de la forêt avec le jeune. La scène continuait devant lui, pour quelques instants il avait perdu de le cours de celle-ci, mais là, perché silencieusement dans un arbre , il pouvait tout voir(Camouflage sylvestre). Dague de jet en main, il était plus que prêt à agir. Ce garde ne savait pas a qui il avait à faire. Son regard gris-acier, ne dégageant aucune vie, se vérouilla sur son opposant.

N'apercevant plus son opposant il retourne près du petit voleur et lui murmure à l'oreille: Ton ami ne pourra point t'aider maintenant qu'il s'est enfuit.

Puis il brandi la hache e tranche d'un coup la petite main tu roublard. Il se rend ensuite au fweu qui 'était pas loin et en sort une barrre de fer chauffé à blanc. Il la met sur le moignon de lÉ'enfant à plusieurs reprise, la chauffant entre chacune de ces fois. APrès deux fois l'enfant avait perdu connaisance mais il l'avait réveillé à grandres claques afin qu'il subisse la fin du châtiment. Après avoir fini il attrape l'enfant par le colet et le remet au carcan.

Tu as eu ce que tu méritais maintenant tu resteras ici afin que tout le monde puisse te voir et afin que tu serves d'exemple. Il met aussi le moignon toujour ensanglanté dans le carcan et referme celui-ci. Le carcan se coince dans le moignon mais après avoir mits tout son poids il réussis à le fermer et il mets le cadenas puis s'en va pendant que l'on lan¨cait des légumes et autres choses pourries à l'enfant qui était au carcan.

Murmure se sentait enchevêtré, il ne pouvait plus bougé. Le moignon du jeune l'horriffiait. Il avait échoué de l'épargner de ce sort, mais lui, si un jour il se faisait prendre, subirait-il le même sort? Il était un assassin, un des plus compétent, mais s'il se faisait amupter une main, jamais pourra-t-il refaire sa besogne. Il lanca sa dague de jet en direction du garde qui avait coupé la main du jeune et celle-ci tomba raide planté dans le sol au pieds du garde. Le soldat l'extirpa du sol, la regarda d'un air incrédule en cherchant sa provenance. C'est là qu'il remarqua les deux yeux gris qui le fixait. Le garde alarma l'homme qui le secondait et regarda ensuite où se trouvait l'assassin. Il avait disparu.
Plus loin, confondu dans l'ombre des buissons, Murmure se chuchota:
Soyez prudent, cher garde, car ma lame est le touché de la mort.
Et puis il disparu à nouveau, constament en mouvement. Il ouvrit son grimoire des poisons et parti à la recherche d'herbes qui pourraient lui être plus qu'utiles.
(recheche d'herbes pour fabriquer poisons mineurs)

Après une recherche approfondie d'environ une heure, Murmure se dit qu'il méritait bien une petite coupe de vin. Il parti donc en direction de la taverne avec ses 3 écus qu'il avait volés et mit la bourse volée dans sa poche.

Destination: Auberge

Artanis arriva et dit : Il y a des nouvelles recrues ?!

Soudain une tromette retenti au loin et tous les hommes dans la caserne sortirent et formèrent un chemin d'honneur présentant leur armes au niveau de leurs têtes, les croisant avec celles de leurs voisins d'en face.

Faites place à mesire le capitaine de la milice!

Celui-ci arriva avec quelques hommes qui portaient un grand coffre ainsi qu'un convoit d'armes et d'armures.